FAUNE ET FLORE
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La faune et surtout la flore présentes sur les lieux-dits ont toujours inspiré nos ancêtres. De nombreux toponymes y font référence et n’appellent pas de remarque particulière :
- La Lapine (photo 1) au nord de Coulonges
- Le Chardon (photo 2) au nord du Bois du Breuil
- Les Fougères (photo 3) à l'est des Renouleaux
- Les Joncs, à l'angle de la Route des Renouleaux et de la Route de l'Espic. Remarque : une Pièce des Joncs se trouvait dans la zone de Plordonnier (près de L'Étang) cédée à Mornac en 1883.
Le grand Noyer (photo 4) entre La Sablière et La Bertonnerie
- Les Ajoncs du Montil (photo 5) au nord de ce hameau
Quelques représentants de ces catégories en rapport avec la nature méritent d’être commentés plus longuement : Les Brandes, La Cognasse, Les Cormiers, Les Coudrais, Les Coujolles, La Ronce (ou Ronze), Les Rosiers, Le Sainfoin, Les Vignes... Vous les trouverez développés en utilisant la recherche alphabétique en page d'accueil.
Voir aussi les noms de rues récents (Allée des Chênes, Impasse des Oiseaux et noms de fleurs).
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Sur le cadastre de 1837, plusieurs toponymes s'inspiraient des arbres :
- À Lormeau, en dépit de sa curieuse orthographe, évoque l'orme, bel arbre victime de la graphiose, le long de la Route de Mornac avant Monte-Rude (lire le texte du grand Simounet' : Quand les oumias queurvant).

- Le Champ des Châgnes (des Chênes), entre Les Combalennes et Saint-Sulpice.
- La Frâgnée (lieu planté de frênes), qui se situait entre le Logis de Chalézac et le Pont de La Mer.
- Le Poirier Caillard (qui poussait sur le cail, un sol caillouteux ?) entre Les Longées et le Chemin du Puits conduisant à Taupignac.
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On pourrait ajouter ici Les Chardavoines, du nom de la graminée très appréciée des chevaux et volailles. Ce toponyme ne figure que sur le cadastre de 1837, dans le secteur de Coulonges.
Pour La Chardonnette et La Perdrie et Les Têtards, voir les Toponymes oubliés.